C’est parti, les jambes sont lourdes (déjà, mais qu’ils sont nuls ces vttistes, toujours à se plaindre de leurs courbatures). Aujourd’hui, au programme, deux sorties avec un retour au centre à midi.

La matinée débute avec un super petit dej et plein de pains au chocolat. Parés à rouler, on se dirige en direction des alentours de la Londe puis du maquis. La garrigue nous avait bien manqué, notamment pour arriver au col du Babaou. Selon certains, ça monte trop. Selon d’autres, ça traîne. Vous pensez que ça va casser cette histoire d’amour ?

Révélations dans la suite de nos aventures (quel emploi si précis du cliffhanger !)

Malheureusement, dû à des conditions d’acide lactique extrême, on se doit de raccourcir le tour pour arriver à l’heure pour manger. En plus c’est pâtes à la cantoche, faut pas abuser ! Mention spéciale pour Bruno qui combine comme légumes les pâtes avec les patates dauphines (OuUUAiaiaiAAIai mais ça pousse dans le sol c’est pareil).

Bon, comment dire, le début de l’aprem, c’est pas gagné. Déjà, Alej essaie de nous créer une entourloupe avec son message de départ 30 min post rdv, et Mathieu le prend au pied de la lettre. Heureusement qu’Arthur était là pour rétablir la vérité, il est toujours à l’affût ! (bien réveillé le garçon)

Le début d’après-midi nous fait regretter de vivre dans une région moins ensoleillée et chaude que le Var. C’est confirmé par une autochtone avec son Basset (de Lona lol) qui nous accueille au sommet des pistes, mais qui essaie de nous convaincre du fait que nous roulons effectivement en vélo électrique (c’est peut-être pour ça que Bruno va si vite).

On conclut la journée par une bonne douche et un ptit buffet des familles avec nos amis genevois qui nous ont rejoint cet après-midi. Selon Bruno, on “les dépose” en ligne droite. A voir…

Conditions désertiques en milieu aride

MatMat

Pas de commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*