Voici venir le milieux de semaine du camp d’entraînement. Les jambes sont fatiguées, on prend trop de poids à cause de tout ce que l’on mange et la motivation d’Elias est toujours au plus bas. Elias : Tu forces.
Après un petit-déjeuner fort copieux pour certains, composé de près de 12 crêpes (on arrondi à l’inférieur), il est temps de préparer les vélos pour attaquer une visite au fort de la Garde Freinet. Nous nous rendons donc au sommet du col du Taillude pour le départ, puis attaquons une piste forestière. Elias aura un peu de peine à se mettre dans le rythme, mais une fois lancé avec une barre de céréales Ovomaltine™, tout alla pour le mieux. Mathieu ne put malheureusement pas rouler à cause de sa santé délicate et fébrile (malgré le gabarit du gaillard tout de même !).
Nous arrivâmes donc au sommet de la Garde Freinet et pûmes contempler la vue sur la mer, mais également sur les Préalpes. La montée au fort, sur les derniers mètres, fut tellement rude, que nous fûmes contraints de laisser les vélos au pied du dernier rocher pour terminer notre ascension. Tout ceci, bien évidemment, fatigua grandement notre ami aux cheveux frisés.
Nous dûmes attaquer le retour au col du Taillude par la route, car l’après-midi commençait à être avancée, et nous dévorions notre temps disponible pour manger à midi. Nous nous lançâmes donc à l’assaut du col du Perrier puis du Taillude, mais il fut vite remarqué qu’Elias aurait de la peine à arriver au sommet à cause de son gros vélo. Il fut donc décidé de téléphoner à Mathieu, demeuré à la voiture comme assistant technique, de venir chercher Elias en cours de route. Toutefois, après plus de 5 appels en absence et quelques SMS, il ne répondait pas ! Il fallut donc commencer l’ascension, en nous dépêchant pour aller récupérer le véhicule. Nous apprendrons plus tard que Mathieu s’était assoupi, au soleil, et qu’il n’avait pas entendu nos appels ! Il pourra tout de même récupérer Elias entre le col du Perrier et celui du Taillude pour le soulager.
ENFIN, il était temps de manger, et cette fois-ci, nous avions droit à de copieux sandwichs, de qualité, et AVEC DE LA SALADE. Sinon, nous n’avions droit qu’à de timides jambon beurre, dont le beurre dépassait allègrement. Ensuite, sur le chemin du retour, il fut décidé de terminer l’après-midi à la plage et de faire du paddle ! Ce fut l’occasion pour Hugo de se mouiller dans la mer, malgré son envie de demeurer sur l’embarcation.
Enfin, nous clorons cette journée avec un super souper, et Hugo se demandera pourquoi avoir mangé tant de desserts, alors qu’il n’avait plus de place… (on réussira également à piquer la tarte de Mathieu).
Elias : Mais noooon, faut que je réfléchisse à une phrase… faut que j’aille pisser.
Hugo : Le sauna fait maison dans la salle de bain après s’être baigné fait grandement plaisir.
Mathieu : Vous ne parlez pas de moi !
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