Le vent ne cesse de forcir sur la côte, nous déportant à plus de 65 km/h sur les côtés. C’est donc une excellente journée pour travailler les cuicuisses et renforcer les muscles. Après un copieux petit déjeuner, surtout pour Hugo, qui ne cesse de nous impressionner de par la taille de ses piles de crêpes, nous partons tant bien que mal en retard pour rejoindre les chemins. Eh oui, certains devaient changer leur chaîne de vélo, d’autres s’arrêter acheter de la crème pour les mains… on n’en finissait point !

Une fois sur place, nous nous confrontons aux douleurs d’estomac de Mathieu, qui ne pourra pas rouler le matin. Nous nous rendons donc avec Elias et Hugo à l’attaque des sentiers et découvrons une superbe descente sur un itinéraire GR, dont la descente, de près de 15 minutes, nous permettra de travailler notre technique. Nous retrouverons Elias au pied du single, qui n’aura pas souhaité dépenser trop d’énergie pour y parvenir. Nous rejoindrons ensuite le col du Babaou, puis nous terminerons notre sortie par une piste forestière pour aller pic-niquer à côté de la confiserie azuréenne, célèbre pour ses glaces aux marrons.

Après un pic-nic, une excursion aux toilettes sans PQ pour Mathieu et Hugo, et une sieste bien méritée d’une demi-heure -dans un hamac pour certains- il était temps de passer à l’itinéraire de l’après-midi. Malheureusement, bien que la sortie s’annonçait plus roulante que celle du matin, nous fûmes vite confrontés à un sentier abandonné sur une crête de colline, nous obligeant à rebrousser chemin. Le soleil commençait à décliner et le vent renforçait l’impression de froid. Nous rentrerons tout juste à temps pour pouvoir déguster la glace aux marrons, à 5 minutes de la fermeture de la confiserie, puis nous partîmes en quête d’un adaptateur pour chargeur d’ordinateur pour Mathieu. Tout cela, bien évidemment, nous pris beaucoup de temps et nous dûmes nous dépêcher pour arriver à l’heure pour le repas. (Sans adaptateur, bien évidemment).

Il faut noter qu’Elias a catégoriquement refusé de participer aux activités d’animations du centre Azureva, nous ridiculisant tous. En effet, il lui était demandé de jouer le rôle de la roue arrière gauche d’un carrosse fictif. Ils sont fous ces varois…

Elias : C’était la honte.

Hugo : Ouais, rapport.

Mathieu : Y a pas de PQ…


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